babylon

i can't recall the last time i took love from anyone

nom complet : blue, bien sûr ce n'est pas vraiment son nom de famille et genesis est encore moins son véritable prénom. la belle, en reniant sa famille, en s'orientant vers une vie des plus particulière à décidé de prendre un pseudonyme. genesis, adéquate quand on sait que sa famille est d'une croyance incomparable, le petit jésus, la bible, elle connait pas coeur. mais son choix c'est porté sur ce prénom, parce qu'il laisse entendre un renouveau. elle est le genre de fille qui peut mettre son optimise dans les petites choses et interpréter les aléas de la vie, comme un signe du destin. son véritable prénom ? essaye donc de chiper sa carte d'identité pour voir.  ◦ âge, date et lieu de naissance : elle est née il y a maintenant vingt trois ans, un mois d'avril dans la ville polluée et surpeuplée de Los Angeles et plus précisément dans le quartier de Beverly Hills. jeunesse dorée, jeunesse déchue. ◦ origines et nationalité : ses parents sont nées à hawaï, se sont rencontrés à hawaï, mais c'est dans les quartiers chics de LA, qu'ils ont éluent domicile il y a de ça des années. parfaitement intégré à la communauté chic de LA, ils se fondent parfaitement dans la masse de cette population tristement riche. ◦ statut civil et orientation sexuelle : une jeune femme esseulée, qui à dut apprendre à vivre en compagnie d'un petit ange prénommé jamie, c'est une jeune mère célibataire qui a le don de craquer pour les mauvais garçons. ◦ occupation et situation financière : l'argent lui arrive dans la ficelle d'un string à paillette, danseuse pour une boite de strip-tease plutôt louche, elle n'amasse pas autant d'argent qu'elle le voudrait. ◦ situation familiale : jamie est un enfant adorable, à sept ans il a la capacité de comprendre que la vie n'est pas toujours évidente et ne s'en plaint jamais. sa mère fait tout ce qu'elle peut pour lui offrir les dernières fringues à la modes ou des derniers jeux. mais il est forcé de constaté qu'à ses pieds il chausse les basket à la mode d'il y a au moins trois ans. elle fait de son mieux. ce qui la travail le plus, le pauvre, c'est de ne pas apprendre à connaitre ses grands-parents, ses oncles et tantes et surtout son père. sujet tabou. ◦ traits de caractère : le coeur sur la main, à l'écoute, sensible, drôle, souriante, positive, naïve, ingénue, fidèle, charmeuse, peu farouche, altruiste, malléable, peu méfiante, spontanée.  ◦ groupe : we'll never be satisfied.

let's talk about spaceships
[luxure] quelle mauvaise fille, elle a eut l'idée saugrenue de s'enticher du premier venu et de lui offrir sa petite fleur, comme dirait l'autre. demoiselle stupide tu as cru qu'il allait t'aimer pour l'éternité. si c'était l'éternité, tu sais maintenant qu'elle ne dure que l'espace d'un instant, à l'instar de cette première partie de jambe en l'air, trente secondes montres en mains. du moins c'est ce qu'elle dira, avouant par la même occasion que son petit ego à en prit un coup. sa mère la compare à marie madeleine de la bible du moins c'est ce qu'elle s'imagine, parce que la dame passait son temps à dire la même chose de ces femmes qui se donnent sans réfléchir. gen, pensait avoir réfléchit, elle se croyait plus futée que la moyenne, pensant que les gros dollars qui la berçaient depuis son enfance lui suffirait à échapper à un destin maussade. elle avait été bien trop vite avisée de penser qu'elle pourrait échapper à dame destin. luxure, c'est aussi pour son métier des plus dénudé. tout comme l'infirmière passe sa blouse pour entrer dans la peau de son job, gen enfile un string et un soutif à paillette, uniforme de circonstance. plumes, paillettes elle en retrouve jusqu'à dans le siphon de sa machine à laver. [colère] ce n'est pas un sentiment qui anime sa vie, ses pensées. elle est plutôt fataliste tout en étant d'un éternel optimiste. quand le mauvais sort s'abat sur sa tête d'ange, elle se dit que c'est le destin et qu'il doit forcément lui réserver autre chose de bien meilleur. une sorte de balance cosmique. la colère, elle pensait avoir été totalement épargnée par ce sentiment. fille modèle, ses parents n'avaient jamais eut à hausser la voix pour la faire marcher droit. élève idéale, les professeurs ne la réprimandaient jamais, et quand bien même elle discutait on ne lui en tenait pas tellement rigueur pour cause de sa belle petite tête de chouchou du prof. mais finalement la colère l'avait rattraper, elle l'avait entrevu dans les yeux du père de son enfant quand elle avait eut le culot de lui apprendre sa grossesse, de se pointer comme une fleur au pas de sa porte en croyant que tout allait bien se passer, valise en main. mais la colère elle la voit surtout tous les jours dans le regard des gens de son quartier, en colère contre le système, en colère contre ses parents, en colère contre un mari abusif... en colère contre le monde. le plus frappant ce sont certains de ses clients, qui ont beau se détendre au rythme de ses courbes voluptueuses, ils restent en colère contre leur femme, leur boss, leur père. certains ont même put faire preuve de violence, elle a gardé des semaines une marque de doigts sur ses cuisses, certains ne peuvent se contenter d'une danse.   [paresse] petite fille, que tu aimerais pouvoir paresser. ce n'est pas un mot qui fait partie de son vocabulaire, pourtant elle était destiné à une vie bien plus paresseuse. sa mère avait émit l'idée qu'elle n'était pas assez intelligente pour faire de longues et hautes études qui rendent fière n'importe quel parent. alors au lieu de ça, elle était destinée à être femme au foyer de standing, elle répétait sans cesse que sa fille était d'une beauté éblouissante et que ça allait leurs ouvrir les portes des plus riches familles. elle se mettait même à penser que sa fille saurait être à la hauteur d'un mariage princier. là, il faut croire qu'il n'y a plus de retours en arrière possible. petite fille loin d'être paresseuse, peut être que tu devrais l'être plus. le manque de sommeil s'accumule de jours en jours, de semaines en semaines, d'années en années. son boulot la nuit, son enfant toujours éveillé, toujours prêt pour les choses de la vie. l'école, le goûter, les repas, les devoirs. et encore le boulot. plus de place à la paresse.   [gourmandise] le sucre est son point faible, enceinte elle n'arrêtait pas de manger tout ce qui était sucré, des tas de sucres. elle avait pourtant sut se restreindre sachant que si elle prenait trop de poids qu'elle n'arriverait pas à reperdre, elle pouvait dire adieu à sa place de danseuse dans son club minable. c'était pour cette unique raison qu'ils avaient accepté de la reprendre après, parce que son physique, son aura et ses charmes avaient amené une clientèle toute nouvelle. elle fascinait, il faut le dire. sans fausse modestie, elle pouvait dire qu'à elle seul, elle apportait la moitié des bénéfices de ce salaud. bien sûr qu'il allait la reprendre, mais pas avec trois kilos en trop, c'était certain. son physique elle l'avait vite retrouvé, svelte de nature il ne lui avait pas fallut plus d'un mois pour retrouver sa ligne d'avant jamie. [orgueil] récemment, le père de son bébé qui n'est plus un bébé, celui qui lui avait fermé la porte au nez alors qu'elle lui apportait la nouvelle de sa grossesse, oui ce connard là tu resitue ? et bien lui là, il a décidé de repointer le bout de son nez et de se la jouer papa responsable. au bout de sept ans. au bout de sept putains d'années. ce n'est pas une nana qui a de l'orgueil, mais là pour le coup, elle est bien décidée à le laisser bien loin de sa vie, de son fils, parce qu'il a mal agit et qu'elle souffre encore de cette histoire. acte d'orgueil, quand tu lui fermer la porte au nez. c'est certainement animé par cette même rancœur qu'elle a décidé de s'éloigner de sa famille, de quitter LA pour San Diego. parce que ces riches gens lui avait apprit à mépriser les filles comme elle, qui trop tôt se retrouve mère, enceinte, marié au mauvais.   [avarice] mère, tu abuses. elle se souvient encore de son regard à chaque fois qu'elles passaient devant des sans-abris, elle palpait le cuire de son chanel, le rapprochant de son corps histoire d'être certaine que son argent n'allait pas préférer aller les voir plutôt de que rester  bien au chaud dans le luxe. et cette façon qu'elle avait l'instant d'après de vérifier son porte-feuille, prétextant l'envie de savoir si elle avait assez de monnaie pour le parking du centre commercial. mère, tu es avare. gen est tout le contraire, elle était plutôt du genre à faire demi-tour prétextant avoir reconnue une amie et cherchant dans son jean de luxe, de quoi donner un peu d'espoir dans la main du sans-abris. une manière pour elle de s'excuser de la condescendance de sa mère. elle élève d'ailleurs son fils de cette façon, à aimer tout le monde, à aider ceux qu'il peut et à être le plus altruiste possible. [envie] fraîchement débarqué des beaux quartier, son vieux sac chanel à la main elle était entré avec volupté dans ce boui-boui qui recherchait des danseuses. c'est là qu'elle rencontre cette ruby, cette nana incendiaire qui disait être propriétaire des lieux. alors qu'elle n'était qu'une danseuse comme une autre, certainement celle qui ramenait le plus de fric. elle avait regardé genesis d'une manière pas très aimable. rick arrive et semble déjà tomber amoureux quand elle lui offre ses services, ses ondulations. ses hanches marquées. en un rien de temps c'est à elle d'être propriétaire des lieux. et toi ruby, quand elle passe devant toi dans les "loges", tu la regardes avec envie. tu la déteste et l'aime à la fois, tu la jalouse. elle a prit ta place après tout, tes pourboires s'en ressentent.

and a kiss to make it better
pseudo/prénom : sam. ◦ âge et pays : . ◦ avatar : ashley moore.  ◦ avis, autres : . ◦ crédits : sza, babylon + tumblr.