(hit the second base, son)

nom complet : Chet Stirling. Chet, comme Chet Baker, le jazzman préféré de sa mère, nommé comme tel parce qu'il paraîtrait que les jumeaux avaient été conçus sur l'une de ses chansons. Cette anecdote avait le don de le répugner il y a un temps mais aujourd'hui, il y pense avec une pointe au coeur. ◦ âge, date et lieu de naissance : Vingt-deux ans plus tôt, ce n'était pas un mais deux nouveaux bébés Stirling qui venaient rendre un peu plus spéciale encore la vie à San Diego. ◦ origines et nationalité : D'une mère mexicaine et d'un père américain, il semble toutefois tirer ses traits de très lointaines origines anglaises et écossaises. Les Stirling se considèrent aujourd'hui comme tout ce qu'il y a de plus américain, born and raised. ◦ statut civil et orientation sexuelle : Côté cœur, Chet a toujours montré un certain manque d'engagement et de sérieux. Il aime les femmes, en a même déjà "aimé" quelques-unes mais il est difficile de lui demander d'être attentionné et engagé dans une relation, ayant tendance à négliger les filles qu'il fréquente non pas par vice mais par simple manque de... temps. De plus, ses ex-petites amies étaient le plus souvent plus intéressées par son statut de futur joueur de baseball pro que par le fait de le connaître réellement, aussi préfère-t-il rester célibataire et entourés d'amis proches et de confiance. ◦ occupation et situation financière : Repéré à l'âge de douze ans par les recruteurs des San Diego Padres, Chet a passé la majeure partie de sa vie à s'entraîner pour devenir pro. Son mentor, Rick (pnj), le suit depuis qu'il est tout petit et en a fait le parfait petit soldat surentraîné que la ligue attend. Titulaire d'une bourse financée par la franchise de baseball, cette dernière couvre sa scolarité et tous les frais liés à sa formation mais pour le reste, il doit se débrouiller seul. Le deal est clair : hors de question de toucher son cachet s'il ne réussit pas à décrocher un contrat en tant que pro, et pour cela il faut être le meilleur des meilleures recrues. ◦ situation familiale : Une famille modeste, voire très modeste, où l'on compte plus les câlins que les cadeaux mais une famille où l'amour et la confiance n'a pas de prix. Lorsque leurs deux parents perdirent la vie dans un tragique accident de voiture il y a maintenant quatre ans, la vie chez les Stirling a dû se réorganiser comme elle le pouvait. Les aînés ont pris tout le poids des responsabilités sur les épaules pour que les derniers puissent continuer à grandir normalement, et au milieu de tout ça, Chet s'est promis de ne pas foirer sa seule chance de devenir pro, quitte à faire des sacrifices. ◦ traits de caractère : Loyal, honnête, généreux, organisé, maladroit, pile électrique, curieux, malin, solaire, boute-en-train, adorable, passionné,  franc,  impertinent, sensible. ◦ groupe : the grass can always be greener.

and a kiss to make it better
pseudo/prénom : Conspiracy, Caroline. ◦ âge et pays : Vingt-trois, France. ◦ avatar : Tom -cutie- Holland.  ◦ avis, autres : Parfait    ◦ crédits : tomhollanddaily@tumblr.

let's talk about spaceships
(the stirling squad) Maman poule, papa gâteau et leurs six marmots : Ryke, Marley, les jumeaux, puis Dean et Dylan la petite dernière qu'on n'attendait plus. Les mêmes cheveux de jais, les mêmes grands yeux rieurs, photo de famille parfaite, grands sourires et dents blanches. Et puis un matin, la police qui tambourine à la porte, les visages graves, l'air sincèrement désolé et les Stirling, orphelins, du jour au lendemain. (boy next door) Très apprécié dans leur quartier, les Stirling ont pu compter sur la solidarité de leurs voisins à la mort de leurs parents, pour garder la tête haute et le garage familial à flots. Chet lui, a toujours eu l'habitude de donner un coup de main à ses voisins, que ce soit pour les aider à ranger leurs courses ou entretenir leurs jardins ; et ils le lui rendent en venant l'encourager à tous ses matchs depuis qu'il est gamin. (daddy issues) Avant de devenir son gagne-pain, le baseball a toujours été quelque chose de particulier entre son père et lui. Trop gringalet pour jouer au football américain et trop maladroit pour le basket, le Chet de huit ans passait son temps à pleurer parce que les autres garçons refusait de jouer avec lui. Mais un jour, son père eut la bonne idée de lui mettre une batte de baseball dans les mains et ce fut la révélation. Des vases ont été cassés et des centaines de balles ont été perdues mais qu'est-ce qu'il était bon ! Son père le suivait à tous les matchs, toutes les rencontres, l'encourageant depuis les tribunes, criant des "C'est mon fils !" enthousiastes. Et puis à l'aube de ses douze ans, des recruteurs sont venus à leurs portes leur proposer le contrat d'une vie. D'abord réticents, les parents Stirling ont fini par accepter la proposition sous les injonctions de leur gamin trop heureux à l'idée de devenir pro. Inévitablement, les visites de papa se firent plus rares car il fallait que "Chet puisse se concentrer" et que de toute façon, son coach Rick engagé spécialement par les Padres de San Diego, était un pro, un vrai de vrai, lui. Il lui arrive de se demander ce que son père lui dirait s'il le voyait aujourd'hui, aux portes de son grand rêve, s'il serait fier de lui ou s'il lui reprocherait d'avoir trahi tout ce en quoi il croyait... Mais au final, le baseball, c'est tout ce qu'il a. (adrenaline junkie) Féru de sport, la vie de Chet est littéralement rythmée par la quantité de sueur versée dans la journée : levée aux aurores, il enfile ses baskets et part pour un jogging le long des côtes. Rentré lorsque le soleil est à peine levé, il prépare souvent le petit déj pour toute la smala que l'odeur d'oeufs et de bacon vient réveiller tout doucement. Il sait qu'il ne les reverra pas de la journée alors il profite de ce moment avec eux. Il file ensuite à la salle de sport s'entraîner avant ses cours du matin et après une journée pas particulièrement brillante sur les bancs de l'université, il rejoint son lieu de prédilection, le terrain d'entraînement des San Diego Padres. Chet prend grand soin de lui pour toujours être au top de sa forme mais ne cache pas son amour pour la junk food et les sodas sucrés. (go big or go home) Droit dans ses pompes et animé par ses propres convictions, le jeune homme peut être très critique et dur quand on ne pense pas comme lui ou lorsque quelque chose dépasse son entendement. Il pense par exemple que sa soeur jumelle Nash, a fait le mauvais choix en allant s'installer chez ce producteur dont il ignore tout pour espérer percer dans la musique mais serait encore plus dévasté de savoir que Ryke le grand frère qu'il admire tant utilise le garage familial pour cacher quelques activités illicites. (netflix and chill) Il aime passer son temps libre à regarder des séries ou des documentaires animaliers et historiques diffusés sur le câble, il les trouve fascinant et cela fait toujours de bons sujets pour meubler les conversations. Un brin solitaire sur les bords, il est plus à l'aise sur le terrain qu'en soirée universitaire entourée de frat boys et de cheerleaders. (friendship) Chet est très fidèle en amitié mais la trahison et le manque de respect sont des choses qu'il a dû mal à accepter. Pas du tout du genre à se battre, il préfère éviter les conflits et essaie au maximum de s'entendre avec tout le monde mais il peut également être très protecteur envers les gens qu'il aime et il suffit d'un mauvais pas, d'une mauvaise parole pour recevoir un bon poing dans la figure. (beliefs) Terre à terre et on ne peut plus pragmatique, il ne croit en aucune religion et trouve toutes formes de superstitions ridicules, que ce soit les histoires de fantômes, de destin et d'âmes sœurs. (hobbies) Enfiler une tenue de sport, mettre ses écouteurs et partir courir quinze bornes le long des côtes de San Diego, s'enfiler hamburgers et milk shakes au fast food du coin, poster des photos pseudo-artistiques sur Instagram, matcher sur Tinder, prétexter qu'on est en fait "emotionally unavailable, sorry", boire sur la plage et profiter du soleil avec les copains, s'allonger dans l'herbe et regarder les nuages passer, imaginer ce que serait sa vie s'il devenait un Padres, un vrai de vrai, rêver de meilleurs lendemains.