you're tired of your empty habits [r/dottie]

you're saying that your tired of all your empty habit. you want something that's deeper cause you're over the generics

Le rideau poussé au maximum pour couvrir la fenêtre, n'est guerre suffisant pour le soleil toujours grandissant de la Californie. Un grognement traverse la gorge de Vera Kincaid, mécontente, insastisfaite. La journée ne faisait pourtant que commencé, le pied gauche au sol et un juron sort de ses lèvres pulpeuses. Le goût éphémère encore sur sa langue crée un réflexe naturel de déglutition. Toutes les images d'horreurs ne sont point suffisante à chasser cette envie énigmatique d'expulser le contenu total de ses intestins. L'air frais et sec procure une pause au corps endolori de la brunette, dorénavant posté sur la terasse de leur appartement. Certes, sa superficie restrainte l'empêche de se mettre au yoga matinale. Dans la nulité de son cerveau, le matin est l'heure à laquelle le réveil se produit. Dans une réalité plus vive, l'après-midi a sonné depuis déjà plusieurs minutes. Elle pousse le blâme sur ses heures de travail interminable et sort une cigarette de son paquet. La fumée dégage une libération instantanné. Une vielle manie, une habitude qui lui pourrirait la vie; tant pis, pensait-elle alors, avant de pousser violemment contre le mur toute pensée semblable voulant émmerger dans son cerveau. Son âge avancé ne lui permettait aucune erreur. Que ce soit personnelle ou dans son boulot. Heureuse de constater, ceci dit, que tout était à l'ordre dans son travail. Il ne manquait que l'accomplissement personnelle. Un rire ironique passe sur ses lèvres. Une idiotie. Kyle ne l'avait pas quitter pour rien, pour une nullité. La raison, toujours ignorée, la tuait en silence. La brunette prend la journée pour terminer une prostethique sur une tête de mannequin; elle qui normalement ne bossait pas à la maison - la flemmardise, une tentation du diable - prit un malin plaisir à revisionner ses films préférés tout en appliquant des couches de latex suivit de peinture à ce futur monstre. Les premiers dessins approuvés, le travail préféré de Vera commençait; la création physique. Entre un coup de séchoir, son téléphone la sortit de ses pensés. Un rappel pour manger. Nécessaire lorsqu'elle bosse, la tête préoccupé par tout sauf le monde qui l'entoure. Vera pose tout, se rend à la cuisine et sort les ingrédients nécessaires pour concocter un repas digne de ce nom. Pour rendre l'expérience encoe plus magique, elle lança le film préféré de sa colocataire: The Wizard of Oz. Une sourire diabolique - son état beaucoup mieux qu'à son réveil, forcément - elle termina de préparer les assiettes, juste comme la porte s'ouvrit dans un geste théâtrale. There she is! I'm starving, what are you cooking?, dit-elle avec un nouveau sourire. S'amusé avec Dottie serait sa récompense de la journée.